« Qu’ai-je fait, pour me voir ainsi Mutilé par mon propre maître ? Le bel état où me voici ! Devant les autres chiens oserai-je paraître ? Ô rois des animaux, ou plutôt leurs tyrans, Qui vous feraient choses pareilles... » Ainsi criait Mouflar, jeune dogue ; et les gens, Peu touchés de ses cris douloureux et perçants, Venaient de lui couper sans pitié les oreilles. Mouflar y croyait perdre. Il vit avec le temps Qu’il y gagnait beaucoup ; car étant de (...)