Certain païen chez lui gardait un dieu de bois, De ces dieux qui sont sourds, bien qu’ayant des oreilles. Le païen cependant s’en promettait merveilles. Il lui coûtait autant que trois : Ce n’étaient que voeux et qu’offrandes, Sacrifices de boeufs couronnés de guirlandes. Jamais idole, quel qu’il fût, N’avait eu cuisine si grasse, Sans que pour tout ce culte à son hôte il échût Succession, trésor, gain au jeu, nulle grâce. Bien plus, (...)